MANUSCRIT MEMOIRES DE GUERRE Du PRISONNIER BERTIN A BERLIN 1
Pour Toutes Questions, je suis à votre disposition par téléphone au ou par mail Référence: MEMOIRES DE GUERRE de DE P. BERTIN, PRISONNIER ET TRAVAILLEUR A BERLIN - OU LES MEMOIRES D'UN TRINGLOT. MANUSCRIT ORIGINAL DES MEMOIRES POIGNANTES AU REALISME SAISISSANT d'un PRISONNIER DE GUERRE Atterrissant à Berlin comme travailleur, relatées dans DEUX CAHIERS insérés dans un LIVRE-COFFRET en bois sculpté Dans la Masse par l'Auteur. RECIT JOURNALIER de 231 pages dont 2 dessins, de sa mobilisation en septembre 39, de la débacle, des séjours en divers Camps, de sa vie de Travailleurs en Brasserie à BERLIN, des bombardement incessants des alliés et de sa libération jusqu'à la démobilisation. In-quarto, deux plats sculptés, le premier ouvrant sur charnière représente sculpté dans la masse, un houx, le second fixe deux tulipes dans un médaillon. Dos sculpté dans la masse avec les dates, tomaison, titre et auteur. Le premier plat ouvrant laisse place à un feuillet de contreplaqué fin ouvragé à damier encadrant une photo de groupe et une note sur la patience de Pétain. Petite chaîne métal argenté, probablement chaîne de matricule. 2 cahiers, l'un d'écolier de 81 pages, l'autre façon carnet signé en fin Laval le 21 juin , Valenciennes le 24 juin folioté page . Diverses coupures de journaux 2 dessins. CAHIER PREMIER - De la mobilisation en septembre l'auteur nous raconte sa mobilisation au Quartier Niel de Bordeaux, au 2° Train, son départ le 13 septembre, les péripéties, son passage à Bar le Duc, Guise, Charleville, Signy l'Abbaye (voir plan de la Gare et de l'Abattoir p. 19), Mont St Jean, la Débacle, les bombardements, jusqu'au 18 juin heures, ou son unité est encerclée et prisonnière "notre randonnée est finie..". Laval le 26 juillet . Début son nouveau périple avec le statut de prisonnier, Caserne SCHNEIDER. CAHIER SECOND - Novembre 40. Nouveau Départ, Leipzig, le Camp de Furstenberg de triste renom et s'égrènent les journées de froid, . Avril, Camp de MARIENFELD, puis FALKENSEE, GROTRJANK et travail en usine brasserie, dès novembre, LOVVEN-Böhmisch-Bötzow re-travail en brasserie et premières autorisation de sorties en ville, les premiers bombardements alliés, et enfin BERLIN Brasserie Löwen Böhmisch Landsberger Allée... décembre 43, les alertes se multiplient. La vie à Berlin. La Presse Française.. plusieurs articles de presse joints, les bombardements sont terribles, stupeur des populations, fin de 43, les bombardement continuent dès les premiers jours de 44 et s'égrènent les jours et heures des attaques février, mars, avril, mai, juin, juillet août novembre fin 44 toujours au même point. , accélération des restrictions et des alertes, mars, il ne restera plus rien de la ville, vagues de 4 ou appareils, nuits de fumée, brasserie détruite, stalag détruit, ruines, pauvre capitale bien malade. La confusion, l'armée allemande en résistance, les marches reprennent pour fuir Berlin en mai, contact avec les russes, recensement mi juin, Retour en France en train et Marseillaise, les siens. Valenciennes 24 juin Créé par L'outil de mise en vente gratuit. Mettez vos objets en vente rapidement et en toute simplicité, et gérez vos annonces en cours. rolin Store