Ancien Gaufrier à Hosties XVIII ème Ésotérisme Religion
Recommandations pour une Transaction réussie Pour mondialrelay, me donner votre point de retrait ou le trouver sur http://www.mondialrelay.fr/trouver-le-point-relais-le-plus-proche-de-chez-moi/ POUR VOTRE EVALUATION, MERCI D'ESTIMER MA RAPIDITE A METTRE EN POSTE OU CHEZ MONDIALRELAY MAIS NON PAS LEUR LENTEUR EVENTUELLE - Tous modes de règlement acceptés: Cheque -Paypal-Virement- SI UN ENVOI SIMPLE SANS SUIVI vous est proposé, vous pouvez me demander un RECOMMANDE , COLISSIMO ou AUTRES SUIVI .Pour votre ENVOI DE REGLEMENT PAR CHEQUE , un SIMPLE PAPIER suffit afin de DESIGNER LA TRANSACTION: inutile la photocopie de l'intégral de l'annonce comme demandé par / Votre numéro de Téléphone est également FACULTATIF, bien qu'intéressant si je doit vous demander rapidement un "point de retrait " MONDIALRELAY J'appose TOUJOURS mon EVALUATION en CONCLUSION de TRANSACTION, après avoir reçu la votre Consultez mes autres objets ! N’oubliez pas de m’ajouter à votre liste de favoris ! 17cm x 9cm pour le plat de gaufrier 69cm de long photos ci dessous un clic dessus pour agrandir un deuxième clic pour zoomer Cliquez 1 fois sur les images, puis 1 seconde fois pour zoomer Hebergeur d'images - www.photos-encheres.com L'hostie fut aussi appelée oblata1, oiste en ancien français, oublie, pain d'autel, pain à chanter, pain des anges, pain de communion, agneau, nebula, neulle et nieulle (en Flandre)2. Le christianisme connaitN 1, comme d'autres religions, la notion de sacrifice et d'offrande au dieu mais à la place de l'immolation d'une hostia (victime) constituée souvent par un animal, il utilise le pain pour représenter le corps de Jésus-Christ, victime « après laquelle nulle autre ne doit plus être immolée3 », pendant la messe, au moment de la consécration. Le pain destiné à la consécration a gardé ce nom de « hostie ». Il s’agit d’abord d’un pain ordinaire dont les fidèles font l'oblation volontaire, offrande qui devient obligatoire au vie siècle après le deuxième concile de Mâcon. La totalité du pain apporté par les fidèles n'est pas utilisée pour la consécration. Ce qui reste est béni, prend le nom d'eulogie et est distribué aux personnes qui n'ont pas communié le jour même ; les catéchumènes, les pécheurs connus et les concubines des clercs sont exclus de la distribution. On prête aux eulogies la vertu de fortifier le corps et l'esprit contre les maladies1. L'hostie est ensuite faite d’un pain sans levain, spécialement préparé pour la messe. Le seizième concile de Tolède décide en 693 que le pain qui va être consacré doit être petit, entier, propre et fabriqué expressément. Jean Mabillon écrit dans De azymo qu'on utilise des fers dès le ixe siècle pour le faire plus petit, plus net et plus commode4 ; ce sont des femmes vouées au service de l'église qui le confectionnent. Dès le xiie siècle, l'hostie est devenue une rondelle de pâte cuite entre deux plaques de fer comme une oublie par les oubloyers (ou oublieurs) qui ont le droit de fabrication1 (alors que les pâtissiers ne l'ont pas) et pour lesquels ce produit forme une part considérable de leur commerce5. Les statuts de la corporation, précisent en que les oubloyères, qui peuvent pâtisser les oublies en tant que pâtisserie pour le public, ne peuvent « faire pain à célébrer en Église »6. Les images en relief imprimées dans la pâte par le décor en creux des fers représentent les monogrammes IHS et IHC ou des scènes religieuses comme la Cène, la Flagellation, la Crucifixion, etc. Rondeaux7 pour la découpe des hosties. Edmond Martène décrit, dans De antiquis monachorum ritibus libri 5 collecti ex variis ordinariis, consuetudinariis ritualibusque manuscriptis, la fabrication de l'hostie par les moines telle qu'elle s'est pratiquée dans les monastères jusqu'au xve siècle : tri des grains – un par un –, séchage au soleil, moulage entre des meules lavées, pétrissage de la fleur de farine avec de l'eau froide sur une table à bords relevés, cuisson de six hosties à la fois dans les fers sur un feu clair, découpe des hosties avec un rondeau avant dépôt dans un plat couvert d'un linge blanc ; cette fabrication se faisait quand on en avait besoin, mais surtout peu avant Noël et avant Pâques 4. Après la Révolution française, les oublieurs français perdent généralement le commerce des hosties, fabriquées alors par les religieux, notamment par les Clarisses et les Carmélites qui deviennent le plus gros fournisseur en France. les outils pour la découpe des Hosties ne sont pas en vente